Je m’appelle Xavier ,  je suis parisien et j’ai passé toute ma jeunesse, mon adolescence et ma vie de jeune adulte en région parisienne ( Livry-Gargan  , 93 ) . 

Comme pour beaucoup, le choix d’une orientation professionnelle ne fut pour moi pas une chose facile. 

Balancé entre des aspirations littéraires et philosophiques, et l’envie d’embrasser une carrière de vétérinaire, j’ai passé plusieurs années, après l’obtention de mon Baccalauréat  scientifique  , à me former par moi-même, dans l’idée d’acquérir une vaste connaissance multi-disciplinaire, sans pour autant avoir une idée bien claire de ce que devait être ma vie future, tout au moins sur le plan professionnel. 

Puis, ma curiosité de l’humain s’exacerbant, ma volonté d’en découdre avec le sexe féminin ( ! )  s’imposant à moi comme une nécessité, le choix des études de psychologie s’est avéré à moi comme une évidence. 

Etudes que j’ai poursuivies avec passion  jusqu’à la maitrise, à l’Université de Paris VIII St-Denis ( option psychologie clinique )

Epoque bénie des dieux où, à l’occasion d’un stage en région parisienne, dans le cabinet de Djohar Si Ahmed, docteur en psychologie, experte en analyse fine des expériences dites paranormales et métapsychologiques , j’ai découvert  la Psychologie Transpersonnelle = sorte de mixte étrange à 1ère vue, issu d’une branche des sciences humaines, à mi-chemin entre l’investigation scientifique de la personnalité humaine et l’étude des phénomènes psi, liée à un dépassement de soi via l’ouverture au domaine spirituel.

Le déclic était lancé . Je n’allais plus lâcher l’affaire  !

Surtout que l’orientation de la psychologie telle qu’enseignée dans nos facultés, commençait pour moi à montrer ses limites. 

Je décidai alors de m’intéresser aux Écoles dissidentes offrant la possibilité d’étudier rigoureusement la santé humaine du point de vue de la physiologie et de la biologie, mais également à travers l’histoire, les Traditions, les peuples, la médecine populaire, les approches non scientifiques, et l’anthropologie.

Aussi étrange que cela puisse être, une telle formation n’existe pas dans nos institutions où il faut être : – soit historien ( des sciences ) ; – soit médecin ; – soit psychologue ; – soit charlatan … !

Heureusement nous pouvons compter sur le travail de quelques irréductibles passionnés, très souvent docteur en leur discipline, mais suffisamment curieux pour s’ouvrir à des orientations non académiques..

C’est le cas du Dr. Jean-Pierre WILLEM .

Fier fondateur de l’association humanitaire « Les Médecins aux Pieds Nus » ( dont il est encore le président ), ainsi que de la F.L.M.N.E ( Faculté Libre de Médecine Naturelle et d’ Ethnomédecine ) à Paris en 1987,  il exerça la chirurgie sur le terrain dans de nombreuses missions, après avoir été l’un des derniers élèves et assistants du Dr. Albert Schweitzer, médecin humaniste  de renommée mondiale, récompensé par un prix Nobel de la paix en 1952.

Je choisis donc cette école : https://flmne.org , et pris le parti d’étudier tous les aspects de L ‘ÉTHNOMÉDECINE, un concept que l’on doit à cette école, et qui consiste en une synthèse éclairée entre la médecine occidentale moderne et les thérapeutiques traditionnelles et naturelles des différents pays. 

Entre autres « matières », nous y étudions : 

L’introduction à l’anthropologiela génétiquela sociologie des communautésl’histoire comparée des religions –  le pluralisme thérapeutiquela géobiologiele magnétismel’herboristerie ; – le chamanisme ; les grandes médecines anciennes ( médecine chinoise ; médecine tibétaine ; médecine égyptienne ; médecine ayurvédique ; médecine hébraïque ; médecine grecque ; médecine chrétienne ; médecine anthro -posophique… ) 

Un tel champ de connaissance étant de nature à éclairer le thérapeute quant à la diversité des méthodes de soin offertes par l’histoire des hommes à travers les âges.

C’est en 2014, suite à l’annonce du cancer de mon père, que les choses se sont précisées…

Une lecture fut déterminante pour moi : ANTICANCER du Dr. David Servan Schreiber ( dont le nom du présent site est une sorte d’hommage ! ) .

Celle-ci fut l’origine d’une soif absolue de connaissances encore plus importante touchant au domaine du cancer et des thérapeutiques éprouvées mais pas toujours reconnues, pour des raisons qu’il ne m’appartient pas de juger ici. Je partis donc à l’aventure de tous ces scientifiques plus ou moins mis sur le côté ( à l’instar d’un professeur Didier Raoult pour ce qui est de la crise sanitaire sans précédent de la Covid-19 qui a secoué la france et le monde entier ! ) mais dépositaires de thérapeutiques ayant prouvé leur efficacité.

Mon papa supportant de moins en moins les traitement lourds administrés ( chimio + radio ) décida d’écourter son planning et ses RDV médicamenteux ( il était alors suivi à L’ I.G.R de Villejuif en région parisienne = véritable « mecque »  des traitements en cancérologie, et pôle de recherche au niveau européen ) , pour s’orienter vers des thérapeutiques naturelles . 

Ce qui lui réussit, puisque son organisme fut particulièrement sensible à un certain type de molécules naturelles, et qu’il fut remis sur pied six mois après les débuts de ce nouveau type de soin .  

Aujourd’hui, mon père continue de faire ses « visites » annuelles de routine à L’IGR… Et jusqu’à présent le cancer a totalement disparu ! 

Un témoignage a-t-il valeur de preuve ? Non, nous rappellent avec véhémence et parfois beaucoup de sarcasme nos « amis » sceptiques ! Et ils ont raison.

Mais 10, 100, 1000, 10.000 témoignages ont leur importance. 

LA SCIENCE n’est pas la chasse gardée d’une école de pensée particulière ! Que celle-ci se nomme matérialisme ou  rationalisme, n’est pas une raison suffisante. 

A ce titre, le Dr. Olivier Chambon, médecin psychiatre depuis plus de 20 ans, pionnier des méthodes de soin comportementales et cognitives, en appelle à un dépassement du paradigme actuel et plaide pour une science post matérialiste.

Une telle science ouvrira à n’en pas douter les portes d’une meilleure compréhension du vivant, des interactions entre le corps et l’esprit, et de la résolution de nombreuses maladies dont les maladies chroniques ( et le cancer EST la maladie chronique par excellence ! ) ..

.. A ce titre, même la science institutionnelle le reconnait, ainsi ces propos tenus par Mario Di Palma, oncologue et chef du département ambulatoire à L’IGR :

« Le cancer en tant que maladie chronique est une réalité, et pas une invention de journaliste. De plus en plus de gens vivent avec un cancer et cela devient une question importante de santé publique. Plusieurs raisons expliquent cette évolution. D’abord le diagnostic plus précoce, d’où le fait de vivre plus longtemps avec la maladie. Ensuite le progrès dans la chirurgie et dans les soins support, qui rendent ces traitements plus supportables. La conséquence, c’est un allongement généralisé de la durée de vie avec un cancer qui ne guérit pas. Cette position étant d’ailleurs reconnue par L’O.M.S, qui considère le cancer comme une affection de longue durée, qui, en règle générale, évolue lentement… ce qui est le propre de toute maladie chronique » .

« Un cancer qui ne guérit pas » ?  c’est là où entre en jeux tout l’arsenal thérapeutique naturel du naturopathe, lequel, en partenariat avec l’équipe soignante du malade, apportera ses connaissances de terrain pour tendre vers cette guérison souhaitée.

En l’absence de naturopathe, l’ebook anti-cancer, fruit de mes longues recherches personnelles, de mes entretiens avec des médecins, des biologistes, des naturopathes, des conférenciers, des éducateurs de santé, mais aussi de mes lectures, des nombreux témoignages reçus, des guérisons constatées     ,   est  L’OUTIL LE PLUS COMPLET et le plus objectif que vous pourrez trouver sur internet et le marché des traitements naturels dans la lutte contre le cancer . 

C’est comme ça en tous cas que j’ai voulu le concevoir, afin de donner la possibilité aux personnes malades de se prendre réellement en charge, d’avoir les connaissances les plus exhaustives possibles, tout en étant parfaitement résumées, afin de ne pas noyer le lecteur dans une foule de détails sans importance qui ne l’aideront pas à se guérir plus vite .

Aujourd’hui défendre ce travail est devenu mon « combat ». J’aspire à le faire connaître, et ne m’épargne aucun « débat » avec mes contradicteurs, toujours prêts à brandir l’étendard du soupçon, du scepticisme, de l’incrédulité scientifique.